samedi, mars 24, 2007

Immigrés clandestins : quand la gauche nie la loi…


Suite à l’arrestation houleuse d’un délinquant (« immigré clandestin » en langage « soft-idéologie ») une directrice d’école maternelle parisienne a été placée en garde à vue pour outrage. En effet, la pasionaria s’est opposée violemment à cette interpellation d’un parent d’élèves scolarisés dans son établissement.
Cette fonctionnaire de l’Etat a donc tout d’abord entravé l’application de la loi votée par les représentants du peuple démocratiquement élus puis a agresser un représentant de l’ordre. Face à ces deux faits graves, la décision de mise en garde à vue apparaît tout à fait légitime. Mais ce n’est pas aussi simple. Car la France n’est pas un pays comme les autres. En France ce n’est pas l’Assemblée Nationale, expression du vote populaire, qui fait la loi mais les lobbys gauchistes, incarnations du bien et détenteurs de la vérité.
Ainsi les « associations » et autres « syndicats » hurlent-ils à l’abus de pouvoir, à l’odieuse répression policière et exigent l’annulation de la décision du procureur de la République. Pour toutes ces grandes âmes la loi ne devrait s’appliquer que lorsqu’elle est conforme à leur idéologie. Mais ce n’est pas encore le cas. Pas tout à fait du moins…
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