samedi, novembre 25, 2006

LES DECLARATIONS SCANDALEUSES DU SECRETAIRE GENERAL DE L'UNSA-POLICE

Un lecteur vigilant nous signale la déclaration démentielle qu'a prononcé le secrétaire général de l'UNSA-Police, 1er syndicat français de policiers, proche du PS et grand vainqueur des dernières élections professionnelles, un certain Joaquin Massanet. Suite à la mort du supporter du PSG, il a déclaré: "Il faut éradiquer ces gens-là. On n'a pas le droit de tenir de tels propos xénophobes". D'après le "Robert Quotidien", éradiquer veut dire "supprimer complétement". Par conséquent, dans les circonstances actuelles: un policier qui abat un homme (même s'il s'agit d'une "légitime? défense"), les déclarations du chef du premier syndicat de policiers de France est un véritable appel au meurtre! En somme, la police républicaine peut tuer des hommes impunément, du moment qu'ils sont "xénophobes".

Et la racaille? Il ne faut pas l'éradiquer? On voit où se trouve les priorités de notre "police républicaine" à la sauce UNSA...

PSG - TEL AVIV : LE PROCES DE LA VICTIME


A l'image de cette couverture extraordinaire du Figaro publiée aujourd'hui et sur laquelle les supporters du PSG sont brocardés et mis en accusation alors que sur la photo figurent en réalité des supporters excités de Tel-Aviv, ceux qui ont provoqué la tribune Auteuil jeudi soir dés le début du match, on assiste à une étonnante désignation unilatérale des responsabilités quant au déroulement du drame.
Les supporters du PSG viennent de perdre un de leurs camarades. Leur responsabilité est évidente dans les incidents d'après-match. Je ne pense pas d'ailleurs qu'ils cherchent à le nier, car ils ont cherché à provoquer des bagarres comme malheureusement cela arrive si souvent à Paris comme ailleurs.
Mais ils viennent de perdre un des leurs. Ce n'est pas rien. Malgré la mort d'une jeune, pas une ligne n'est écrite dans la presse pour évoquer ce Julien, son parcours, sa personnalité. Bien au contraire, lui et ses petits copains sont dénoncés, dénigrés et considérés comme responsables de leur propre malheur.
Ce n'est pas la balle d'un policier qui a tué le supporter mais le Kop de Boulogne, son racisme, sa haine, son antisémitisme... Toutes les déclarations et les commentaires vont dans ce sens !
La France a été mise en coupes réglées pendant des semaines par des milliers de jeunes dans les banlieues qu'il n'est pas nécessaire de décrire. Des milliers de véhicules ont été incendiés, des dizaines de bâtiments publics ont été rasés, des centaines de millions d'euros se sont envolés en fumée et deux français ont été assassinés. Bilan de l'action de la police de Sarkozy durant ces émeutes :
Pas une balle n'a été tirée. Aucune victime n'a été enregistrée. Pas même un blessé.
Sans être un supporter du PSG et sans approuver les débordements auxquels ils se laissent aller comme d'autres partout en Europe, comment ne pas s'interroger sur la tournure médiatique prise autour de cette affaire.
Les associations de supporters ont grandement intérêt à calmer les esprits de tout le monde parce qu'il est très probable que le sentiment d'humiliation soit le sentiment le plus partagé chez les supporters du PSG face au torrent médiatique qui cherche à les noyer. Ce qui n'augure rien de bon pour la suite.

Chouan at 6:16 PM

dimanche, novembre 19, 2006

Comment des enfants peuvent-ils en arriver à barbouiller un autel de leurs excréments?

Car c’est bien ce qu’ont fait, entre autres ignominies, cinq enfants musulmans dans une église catholique de Muttenz, dans le canton de Bâle-Campagne. On en parle surtout en allemand, mais aussi un peu en français.

Ils sont âgés de 12 à 13 ans et se sont rendus plusieurs fois dans cette église, pour y uriner par terre ou dans le bénitier, y déféquer et même enduire l’autel de leurs excréments. Deux proviennent de Serbie-Monténégro, deux de Serbie Bosnie-Herzégovine et un d’entre eux est suisse. Ce sont cinq garçons.

Les autorités les traitent comme des malades. Ils sont confiés à une institution spécialisée et à des médecins. Compte tenu de leur âge, leur cas dépend de la Justice des mineurs, laquelle «vise en première ligne la rééducation et la réinsertion rapide des délinquants». Pour en savoir plus, s’adresser à Enrico Rosa, responsable de ce domaine pour la région de Bâle-Campagne.

En guise d’explications, je recommande de survoler le document que j’avais préparé en vue de déposer une plainte contre le Coran, en France, pour incitation à la haine. En voici un court extrait:

La partie d’un texte exerçant le plus fort impact sur ses lecteurs est sans doute celle, le cas échéant, que les lecteurs doivent lire ou réciter le plus souvent. Dans le coran, c’est sans conteste la première sourate, le prologue, qui accompagne toutes les prières des fidèles et qui est donc récitée plus de cent fois par semaine.

Avant de la citer et de la discuter, il faut souligner davantage encore l’importance extrême de cette sourate. En effet, non seulement elle est récitée sans doute au moins quinze fois plus souvent que n’importe quelle autre sourate du coran, mais elle est placée au début du livre, ce qui constitue une entorse unique au classement de l’ouvrage, sinon organisé par ordre de longueur décroissant des sourates.

1:1. Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
2. Louange à Allah, Seigneur de l’univers.
3. Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,
4. Maître du Jour de la rétribution.
5. C’est Toi [Seul] que nous adorons, et c’est Toi [Seul] dont nous implorons secours.
6. Guide-nous dans le droit chemin,
7. le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.

La discrimination n’est pas immédiatement visible. Elle devient évidente soit immédiatement avec la lecture des commentaires coraniques, soit avec la comparaison des termes arabes utilisés dans le dernier verset (7) avec ceux servant, plus bas dans l’ouvrage, à qualifier les communautés des Juifs et des Chrétiens, soit avec la simple lecture de l’ouvrage, qui explicite amplement ce message: il est parfaitement clair, dans l’esprit de tout Musulman pratiquant, que «ceux qui ont encouru la colère de Dieu» sont les Juifs et «les égarés» sont les Chrétiens. Cette discrimination, martelée dans l’esprit des Musulmans par la répétition pluriquotidienne ad vitam, est consolidée, amplifiée, transformée en devoir de haine et en ordres de tuer et de mutiler, par les sourates coraniques qui en reprennent inlassablement le thème dans le livre. (…)

ajm