La meilleure chanson (post-?)moderne. Sans conteste, rien à nuancer. L’absurdité de la vie sans Dieu, le style, l’ironie, le récit, tout y est. Le dernier couplet, particulièrement.
Contextualisée (chanson écrite en référence à la crise des missiles cubains d’où le hard rain’s gonna fall), je ne peux m’empêcher de mettre en parallèle cette chanson avec le deuxième “secret” de Fatima. La montagne, la transmission à l’enfant comme récit, les ruines, la menace nucléaire, les visions d’Apocalypse ; Where black is the color and none is the number. Seule manque l’Espérance (Dans le monde, vous trouverez la détresse, mais ayez confiance ; moi je suis vainqueur du monde (Jn 16, 33)). Stop, faire l’exégèse théologique d’une chanson, aussi sublime soit-elle, pour la rapprocher du Message de la Sainte Mère de Dieu, serait de mauvais goût. Tachons d’éviter tout relativisme.
Donc, Bob Dylan, A hard rain’s gonna fall avec Jean Paul II dans l’assistance (la version est plutôt mauvaise, seule compte l’image de fin avec le dernier Patriarcha Occidentis) : http://www.youtube.com/watch?v=d1aBUZ9VRhE
Vu sur Le Grand Charles
vendredi, mai 02, 2008
lundi, avril 28, 2008
Génocide par substitution (© Copyright Aimé Césaire)
“Génocide par substitution” est une expression employée par Aimé Césaire dès la fin des années 70 : le remplacement des populations locales par des gens venus d’ailleurs…
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