samedi, septembre 15, 2007

"vous ne revez pas"

Julie est allée voir les services sociaux , où on lui a aussitôt fait savoir qu’il lui faudrait attendre au moins trois ans ...

Immigration, l'imposture de Sarkozy

La relaxe de Georges Frêche ou la justice à deux vitesses

Christian Vanneste estime à juste titre qu'il y a deux poids deux mesures :

"Il était poursuivi pour injure raciale, après avoir traité des harkis de “sous-hommes“, en février 2006. [...]. Cette décision confirme de façon tout à fait scandaleuse l’état de l’institution judiciaire de notre pays. Avec elle, les principes d’une justice digne de ce nom sont bafoués. En effet

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Premièrement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, absout un politicien socialiste qui s’égare dans le vocabulaire nazi.

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Deuxièmement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, affirme qu’on peut impunément injurier des hommes et non des communautés alors que cette dernière notion n’a aucune valeur juridique [...].

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Troisièmement, la justice, soi-disant rendue au nom du peuple français, relaxe le socialiste Frêche quand elle condamne l’UMP VANNESTE. Cependant, dans le cas des propos du député VANNESTE, il n’y avait aucune injure à l’encontre ni d’une communauté, ni d’une personne, mais seulement un jugement de valeur partagé par toutes les religions et par de très nombreux penseurs, parfois peu religieux comme VOLTAIRE. Traiter une personne de « sous-hommes » devient donc, aujourd’hui, moins grave que d’exprimer un jugement moral sur les comportements sexuels.

[...] le citoyen a le droit d’être dubitatif devant « ce deux poids, deux mesures » : est-ce que c’est parcequ’il est socialiste qu’il a été relaxé ? Est-ce que c’est parce qu’il est Président de région ? Est-ce c’est parce qu’il s’en prend à des patriotes ?"

Réforme des institutions : droit de vote des immigrés

C'est une idée de Jack Lang, qui fait partie du comité de réflexion sur une réforme des institutions :

"J'aimerais que le préambule de notre Constitution soit enrichi de dispositions nouvelles, notamment le droit de vote des résidents étrangers aux élections locales".

"Les résidents étrangers qui viennent hors de l'Union européenne et qui vivent depuis plus de cinq ans en France et paient leurs impôts doivent pouvoir voter aux élections locales".

Cela n'engage que lui. Mais on se souvient que Nicolas Sarkozy avait fait la même proposition.