dimanche, novembre 19, 2006

Comment des enfants peuvent-ils en arriver à barbouiller un autel de leurs excréments?

Car c’est bien ce qu’ont fait, entre autres ignominies, cinq enfants musulmans dans une église catholique de Muttenz, dans le canton de Bâle-Campagne. On en parle surtout en allemand, mais aussi un peu en français.

Ils sont âgés de 12 à 13 ans et se sont rendus plusieurs fois dans cette église, pour y uriner par terre ou dans le bénitier, y déféquer et même enduire l’autel de leurs excréments. Deux proviennent de Serbie-Monténégro, deux de Serbie Bosnie-Herzégovine et un d’entre eux est suisse. Ce sont cinq garçons.

Les autorités les traitent comme des malades. Ils sont confiés à une institution spécialisée et à des médecins. Compte tenu de leur âge, leur cas dépend de la Justice des mineurs, laquelle «vise en première ligne la rééducation et la réinsertion rapide des délinquants». Pour en savoir plus, s’adresser à Enrico Rosa, responsable de ce domaine pour la région de Bâle-Campagne.

En guise d’explications, je recommande de survoler le document que j’avais préparé en vue de déposer une plainte contre le Coran, en France, pour incitation à la haine. En voici un court extrait:

La partie d’un texte exerçant le plus fort impact sur ses lecteurs est sans doute celle, le cas échéant, que les lecteurs doivent lire ou réciter le plus souvent. Dans le coran, c’est sans conteste la première sourate, le prologue, qui accompagne toutes les prières des fidèles et qui est donc récitée plus de cent fois par semaine.

Avant de la citer et de la discuter, il faut souligner davantage encore l’importance extrême de cette sourate. En effet, non seulement elle est récitée sans doute au moins quinze fois plus souvent que n’importe quelle autre sourate du coran, mais elle est placée au début du livre, ce qui constitue une entorse unique au classement de l’ouvrage, sinon organisé par ordre de longueur décroissant des sourates.

1:1. Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
2. Louange à Allah, Seigneur de l’univers.
3. Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,
4. Maître du Jour de la rétribution.
5. C’est Toi [Seul] que nous adorons, et c’est Toi [Seul] dont nous implorons secours.
6. Guide-nous dans le droit chemin,
7. le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.

La discrimination n’est pas immédiatement visible. Elle devient évidente soit immédiatement avec la lecture des commentaires coraniques, soit avec la comparaison des termes arabes utilisés dans le dernier verset (7) avec ceux servant, plus bas dans l’ouvrage, à qualifier les communautés des Juifs et des Chrétiens, soit avec la simple lecture de l’ouvrage, qui explicite amplement ce message: il est parfaitement clair, dans l’esprit de tout Musulman pratiquant, que «ceux qui ont encouru la colère de Dieu» sont les Juifs et «les égarés» sont les Chrétiens. Cette discrimination, martelée dans l’esprit des Musulmans par la répétition pluriquotidienne ad vitam, est consolidée, amplifiée, transformée en devoir de haine et en ordres de tuer et de mutiler, par les sourates coraniques qui en reprennent inlassablement le thème dans le livre. (…)

ajm